Fake news sur Brigitte Macron : jusqu’à un an de prison requis
En France, dix internautes sont jugés pour cyberharcèlement après avoir diffusé une rumeur complotiste affirmant que Brigitte Macron serait un homme.
Le parquet a requis des peines allant de trois mois à un an de prison avec sursis, selon le degré d’implication de chacun.
La plus lourde vise Aurélien Poirson-Atlan, alias « Zoé Sagan », accusé d’avoir lancé la fake news : 12 mois de sursis, 8 000 € d’amende et suspension de ses comptes pendant six mois.
Les autres prévenus, considérés comme de simples « suiveurs », encourent de 3 à 6 mois avec sursis. Tous invoquent leur liberté d’expression et dénoncent un procès « pour l’exemple ».